A LIRE DE TOUTE URGENCE ET EN PRIORITÉ !!!!

PARLEMENT DE BRETAGNE « Feu mal éteint ».  Gérard Gautier

En vente en ligne dans la boutique de l’IDBE, cet excellent essai sur l’incendie du Parlement de Bretagne en 1994.

L’écriture est toujours aussi juste et ciselée, les éléments détaillés et fouillés. On retrouve le style inimitable de G Gautier.

On referme le livre que l’on a lu d’une traite avec des points d’interrogations plein la tête, mais aussi en ayant axquis des certitudes……

http://oacom.fr/boutique/auteurs/gerard-gautier/580/

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Bref Panorama de l’édition en langue bretonne par Gilbert Geffroy

  • Le nombre de livres en breton publiés annuellement est de plus de 100 titres. Ce nombre à tendance à augmenter . Le tirage moyen pour un  titre  en  breton  s’élève     à 1 300 exemplaires (2 400 pour les titres bilingues) et on compte une quarantaine de structures qui éditent en breton, soit environ 20% des éditeurs bretons. De nombreux emplois pour les brittophones sont désormais liés à ce secteur.
  • Près de la moitié des livres publiés sont destinés aux adultes. L’offre abordant l’art, la vie quotidienne ou les sciences humaines est encore assez ténue et il en va de même pour les bandes dessinées.
  • La plupart des éditeurs sont associatifs, cependant 25% d’entre eux a un statut commercial ( Société anonyme – SA , Sociéré à responsabilité limitée – SARL, ect )
  • L’édition en langue bretonne se caractérise et fonctionne essentiellement grace au bénévolat mais globalement 30% des personnes y travaillant sont salariés
  • Annuellement ce sont environ 110 titres qui sont publiés soit 8 % de la production nationale bretonne en livres
  • 85% des publications en breton sont des créations, 15% des traductions d’oeuvres litteraires du patrimoine mondiale
  • Les publications bilingues ( breton-français, breton -anglais..) ne présentent que 25% de la production ( 75% en breton uniquement )
  • L’offre de livres en breton pour la jeunesse est important et plusieurs maisons d’editions y consacrent quasi uniquement ( 20 titres nouveaux par an )
  • L’offre éditoriale est surtout littéraire et des manques sont repérés dans les domaines artistiques ( Coüt plus élévé ) , technologiques et les livres pratiques…
  • les périodiques en breton pour adultes : journaux et revues: un hebdomadaire “YA” tirant à 1200 exemplaires, des mensuels surtout d’informations générales et littéraires : Al Liamm (littérature), Hor Yezh ( linguistique) , Al Lanv ( société et politique) , Brud Nevez ( litterature) , Imbourc’h ( litterature) , Minihi Levenez( religion) , des bimensuels comme Bremañ ( faits de société )
  • les périodiques en breton pour la jeunesse : Plusieurs revues sont destinées a la jeunesse elles sont mensuelles La Maison d’édition “Keit Vimp Bev” propose des mensuels adaptés aux différentes tranches d’age ( Rouzig de 3 a 5ans- Louarnig pour les enfants jusqu’à 12ans , Meuriad pour les jeunes adolescents… ) L’ensemble de ces revues sont de haute qualite graphique professionnelle.
  • L’essentiel de le distribution des revues en breton se fait par abonnement ( 84 %) et est diffusée  en moyenne à 500 exemplaires.
  • Il faut noter que les grands journaux quotidien francais de diffusion bretonne ( Ouest France et Le Télégramme ) publie reguliérement des articles en breton ( en général une fois pas semaine ) Il en va de même pour des hebdomadaires comme Le Trégor…

 

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Centenaire des Pâques Irlandaises ….. Suite…..

Dans le cadre de notre dossier sur le centenaire des Pâques Irlandaises nous vous invitons à suivre les liens suivants:

Olwen Fouéré, célèbre actrice irlandaise, narratrice du concert vous conseille:

« Attendees were treated to an excerpt from a new music commission by Simon O’Connor, performed by vocalist Michelle O’Rourke with the backing of the RTÉ Concert Orchestra ensemble and dedicated to the widows of those who lost their lives in 1916.
The magnificent performance by the RTÉ Ensemble conducted by Conor Palliser was narrated by actor Olwen Fouéré. It will be performed in full in venues throughout the country during the year. I performed at this event today. It was an amazingly moving experience with many members and descendants of the families involved present:

http://www.irishtimes.com/news/ireland/irish-news/president-honours-role-of-women-in-creating-ireland-of-today-1.2564563#.Vt8q69SJWQ0.mailto

Erwan Fouéré vous conseille: 

http://www.ireland.ie

http://www.taoiseach.gov.ie

http://therevolutionpapers.ie/subscription.php

 

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Comment peut-on être Alsacien, essai sur l’identité française de Pierre Klein

Nous vous conseillons vivement le dernier ouvrage de Pierre Klein:

Comment peut-on être Alsacien, essai sur l’identité française, Editions Salde, 5 bd de la Victoire à Strasbourg, 12 €
(voir extrait de recensions ci-après)
Extraits de recensions
 
Comment peut-on être Alsacien, essai sur l’identité française
1.            « Pierre Klein s’inscrit… dans la lignée des grands intellectuels qui ont lutté, au siècle dernier, pour cette modernisation et cette démocratisation de notre pays : un Yves Person, un Robert Laffont ou un Richard Marienstras. » Henri Giordan in Diasporiques
2.            « Pierre Klein geht die Frage von Sprache und Identität des Elsass in seinem klar geschriebenen, klar argumentierten lesenswerten Text von einem neuen Standpunk an. Für ihn ist de elsässische Problematik „kein eigentlich elsässisches Problem, noch weniger ein deutsches, sondern vor allem ein französisches“. » Emma Guntz in DNA
3.            « … le propos de Pierre Klein dans cet essai … transpose le problème alsacien à un niveau philosophique, en quelque sorte une suite à la Psychanalyse de l’Alsace de Fr. Hoffet. » L’Ami-Hebdo
4.            « Ce nouveau livre, à la fois savant et courageux est avant tout un acte de foi en l’avenir, et on sait que l’auteur s’emploie depuis longtemps par son action politique énergétique, à transformer ses idées en réalités. » Yves Plasseraud, président du GDM
5.            « En 135 pages, Pierre Klein nous invite à nous réconcilier avec nous-mêmes et à assumer notre alsacianitude de façon déterminée, logique et sereine. » François Weiss in L’Outre-Forêt
6.            « Pour Pierre Klein il s’agit non pas de se soustraire aux principes universels, mais au contraire de considérer que ceux-ci ne prendront véritablement leur sens que si les identités culturelles et les appartenances multiples ne font pas l’objet de discriminations… Il s’agit notamment de faire prendre en compte les justes revendications de la diversité des vécus dans une déconstruction-reconstruction de l’histoire de France permettant à toutes les mémoires occultées de s’inscrire dans une nouvelle mise en perspective, base d’une identité nationale actualisée et vivante pour les Français d’aujourd’hui. Le devoir de mémoire doit aller impérativement de pair avec la prise en compte de la diversité des mémoires. » Elan, cahier du FEC.
Pierre Klein:Promoteur de l’enseignement régional bilingue et d’une identité alsacienne ouverte et plurielle inscrite dans le post-nationalisme. Pierre Klein est aussi un militant historique du mouvement culturel alsacien.

Philosophe et essayiste, il est l’auteur de plusieurs ouvrages et de nombreux articles traitant des problèmes alsaciens.

La philosophie politique qui domine sa démarche est celle de l’être et du vivre ensemble, celle de la responsabilité et de l’éthique, celle aussi du nécessaire lien entre diversité et égalité, entre universalité et particularité, entre identité et altérité. En somme, il est question pour lui de garantir l’union dans la diversité d’individus et de groupes différents et égaux.

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Le 24 avril 2016 marque le centenaire de : «  L’Insurrection de Pâques 1916 – Les Pâques Sanglantes à Dublin. » La bibliothèque numérique de l’IDBE consacre un dossier sur l’Irlande et son histoire. Tous les thèmes et types de documents sont abordés, dans le sens le plus large.

Le lundi de Pâques du 24 avril 1916, en pleine guerre mondiale, un groupe d’Irlandais se soulèvent contre le colonisateur britannique. Les Britanniques et les Irlandais loyaux à la Couronne voient cette tentative comme un mauvais coup porté aux soldats qui se battent dans les tranchées…

De la loyauté à la trahison

En août 1914 a éclaté la Grande Guerre. Le Premier ministre britannique Lord Asquith convainc les Irlandais des deux camps, nationalistes et loyalistes, de mettre une sourdine à leur différend jusqu’à la fin du conflit. Il fait d’autre part avaliser le texte du«Home rule» (autonomie de l’île) par le roi Georges V avec la promesse d’un amendement concernant l’Ulster. Dès le début du conflit européen, les Irlandais se portent massivement volontaires dans l’armée britannique pour combattre les Allemands. Au total 200.000 environ.

Quelques extrémistes du Sinn Fein nationaliste et de l’IRB (Irish Republican Brotherhood) préfèrent toutefois appliquer l’adage : «England’s difficulty is Ireland’s opportunity» (Les difficultés de l’Angleterre sont des occasions à saisir pour l’Irlande).

L’un d’eux, Sir Roger Casement, un diplomate de belle prestance, se rend en Allemagne pour convaincre des prisonniers irlandais de prendre l’uniforme… allemand ! Il prend également contact avec les autorités allemandes et leur demande des armes en vue d’une insurrection prévue le dimanche de Pâques 1916, un 23 avril.

Les insurgés du Sinn Fein et de l’IRB disposent d’un millier de Volontaires irlandais et d’une centaine de miliciens de l’Armée citoyenne de James Connolly. Ces hommes forment ce que l’on appellera un peu plus tard l’Irish Republican Army (IRA)…

Deux jours avant Pâques, le chalutier hollandais qui devait livrer les munitions est arraisonné et, plutôt que d’être capturé, se saborde. Casement, capturé par les Anglais, sera pendu pour haute trahison. Informé de ces déconvenues, Thomas Clark, président du «gouvernement provisoire irlandais», maintient le principe de l’insurrection mais la reporte au lendemain de Pâques, à midi (scrupule religieux ? superstition, le 23 avril étant la fête de Saint George, patron de l’Angleterre ?…).

À l’heure dite, les insurgés qui ont été informés du changement de programme occupent plusieurs bâtiments stratégiques au centre de Dublin, dont la Poste, l’Hôtel de ville, le Palais de Justice et des gares.

Ils déploient le drapeau tricolore au-dessus de la Poste et l’un de leurs chefs, le poète Patrick Pearse, lit une proclamation aux badauds :

«Au nom de Dieu et des générations mortes dont elle reçoit la vieille tradition nationale, l’Irlande, par notre voix, appelle ses enfants à son drapeau. Soutenus par nos frères exilés en Amérique, nous déclarons que le droit du peuple irlandais à la propriété de l’Irlande et à la libre détermination de sa destinée est libre et imprescriptible.»

Les insurgés espèrent que les badauds vont se rallier à l’insurrection. Las, ils sont conspués par la foule qui commence à se rassembler devant le bâtiment. Qui plus est, ils s’abstiennent d’occuper le Château, résidence du vice-roi et siège du gouvernement général, bien qu’il n’ait pas de défenseurs. C’est l’échec.

Une répression féroce… et contre-productive

L’armée britannique amène de l’artillerie lourde et bombarde consciencieusement le centre de Dublin. Après cinq jours de résistance, les insurgés capitulent sans conditions. Bilan humain : une soixantaine de morts parmi les insurgés, une centaine parmi les assaillants et plus de deux cents parmi les civils, environ 3.000 arrestations.

Un Conseil de guerre condamne à mort tous les meneurs (James Connolly, blessé, doit être calé contre une chaise pour être fusillé comme il convient). Parmi les condamnés à mort figure John MacBride dont le fils, Seán MacBride, deviendra Premier ministre de la République d’Irlande avant de fonder Amnesty International et d’obtenir pour cela le Prix Nobel de la Paix en 1974.

Un certain Eamon de Valera échappe à l’exécution du fait de sa citoyenneté américaine (il est né d’un père espagnol et d’une mère irlandaise). Il deviendra le premier Président de la République d’Irlande.

Contre toute attente, la férocité de la répression va retourner l’opinion publique en faveur des insurgés et transformer les condamnés en martyrs de la cause irlandaise. Même le gouvernement américain, pressé par sa communauté irlandaise, s’y met et plaide l’indulgence auprès de Londres.

David Lloyd George, Premier ministre en décembre 1916, libère ou amnistie plusieurs chefs de l’insurrection (de Valera, Griffith, Collins…) pour complaire aux Américains. Dans les mois qui suivent, les élections témoignent en Irlande d’un courant de sympathie inattendu en faveur du Sinn Fein, naguère marginal.

La paix revenue, les élections générales sont un triomphe pour le Sinn Fein qui totalise en Irlande 73 députés sur 105. Prônant l’indépendance, ils refusent néanmoins de siéger à Westminster. Le 21 janvier 1919, à Dublin, ils constituent un Parlement national (Dail Eireann en gaélique). Ils lancent en vain un Appel aux Nations en vue de l’indépendance de l’île.

 

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INVITATION

Vous êtes cordialement invités à la conférence animée par Yves Mervin

.

organisée par l’IDBE

Un temps de questions-réponses vous sera réservé à la fin de la conférence.

Nous continuerons la discussion en toute amitié et décontraction autour d’un cocktail de fin d’après-midi offert par l’IDBE.

*Entrée libre et gratuite.

Réservation conseillée auprès de Servane (idbe.gwp@gmail.com/06 81 87 54 63)

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Prochain dossier: Les luttes celtiques/ Gouren

Bientôt de nombreux documents concernant les Luttes Celtiques/Gouren seront présents sur le site de la bibliothèque numérique de l’IDBE.
Vous y trouverez des ouvrages, des photos, affiches….Dans un premier temps c’est surtout l’aspect dit « moderne » du Gouren qui sera exploité.
La Fédération de Gouren de Landerneau et particulièrement Monsieur Caron, nous ont ouverts leur porte et mis à notre disposition une partie des documents que vous allez trouver dans ce dossier.
Pour les archives plus anciennes se trouvent dans les locaux de la mairie de Belle Isle En Terre. Un musée devait voir le jour. Hélas, le projet est actuellement plus qu’incertain. Le responsable que nous avons pu joindre au téléphone nous refuse catégoriquement l’accès à ces documents. Nous nous étions pourtant engagés à ne mettre en ligne que les pièces dont nous aurions obtenu l’autorisation par les ayants-droits. De plus nous aurions peut-être pu aider à la réalisation du musée grâce à l’aide nos nombreux adhérents et contributeurs.

Pour rappel: Les luttes celtiques/ Gouren
Les origines remonteraient aux migrations en Bretagne armoricaine des groupes celtes venus de Grande Bretagne (Cornouaille et Pays de Galle), mélangés eux-mêmes à des groupes originaires d’Irlande.

Ces migrations sont successives du IVième au VIIième siècle sous la pression des Germains (Angles et Saxons) qui colonisent dans le même temps les Îles Bretonnes.

La lutte bretonne serait née du brassage entre les luttes pratiquées par ces groupes de migrants et la lutte armoricaine continentale du haut Moyen-Âge. Mais tout cela resterait bien incertain, même si la persistance prouvée de luttes celtiques proches de la lutte bretonne, en Irlande, aux Pays de Galle et en Cornouaille britannique, renforce cette hypothèse. L’Irlande n’aurait que très récemment (fin XIXième ?) perdu trace de la pratique de sa lutte (Collar and Elbow), qui resterait pratiquée aux USA, importée par les colons irlandais.
Les premières représentations attestées de luttes celtiques
remontent au IXième siècle, en Irlande principalement (cf la croix de Kells), en la présence de textes relatant des jeux gaéliques ou des sculptures sur des croix ou des monuments religieux.

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HISTOIRE BRETONNE DE LA POMME DE TERRE

En consultation et téléchargement gratuit sur la bibliothèque numérique : bibliotheque.oacom.fr :

Dossier « Histoire Bretonne de la Pomme de Terre ».

La Pomme de terre est aujourd’hui l’aliment incontournable des Bretons. Voici 2 siècles, c’était un légume nouveau. ce ne fut pas chose aisée pour qu’il se taille un place de maître entre les crêpes et la bouillie d’avoine. C’est au début du 19è siècle, que la patate fut vraiment adoptée par les Bretons.
 L’histoire bretonne de la pomme de terre a été détaillée dans un ouvrage publié par Goulven Mazéas en 1940 . L’auteur montre en particulier que la Bretagne a eu à la même époque que Parmentier (1737-1813) des promoteurs zélés du « solanum tuberosum ». Les principaux avaient pour noms : Louis Marie Lavergne (1756-1831), Monseigneur de la Marche (1729-1806)l’évêque-comte de Léon, surnommé « Eskop ar patates », Le Marquis Barbier de Lescoat, Francois Le Dréan (1744-1823), La Chalotais (1701-1785), Procureur Général de Bretagne.
Plusieurs chansons en breton, dont une majorité sur feuilles volantes, témoignent des débuts de cette révolution alimentaire. 
Goulven Mazéas (1895-1981) [une grande partie de ce dossier le concerne directement] est un militant breton. Négociant de pommes de terre à semence, il devient, après la Première Guerre mondiale, un fédéraliste et un pacifiste.
Aux élections législatives partielles du 6 avril 1930, Mazéas est candidat aux élections pour le Parti autonomiste breton (PAB) dans la seconde circonscription de Guingamp. Mais il n’obtint que 376 voix.
Après le congrès de Guingamp en août 1931, le PAB se scinde en deux. Les nationalistes les plus intransigeants fondent le Parti national breton tandis que Mazéas, Morvan Marchal etMaurice Duhamel fondent la Ligue Fédéraliste de Bretagne en reprenant le programme du PAB. Mazéas devient le président de cette ligue.
Dans le premier numéro de la revue de ce mouvement politique, il indique dans son éditorial :
« La vérité, c’est que nos maîtres nous arrachent morceau par morceau le sentiment de ce que nous sommes afin de nous remplir d’un ardent amour pour une prétendue patrie, patrie marâtre déjà adoptée par ceux qui ignorent leur mère patrie… Le sang qu’on nous a fait verser ne témoigne rien, si ce n’est qu’on nous a déjà fait faire une fausse route, que nous avons peut-être renié une nationalité effective pour adopter une nationalité fictive à laquelle notre sang, notre race sont complètement étrangères… » novembre 1931
Après la guerre, Il est délégué de l’Union européenne des fédéralistes au congrès de l’Europe à La Haye en 1948 et président du syndicat des négociants de Bretagne.
Sa fille Claudine Mazéas recueillera dans les années 1960 des chants populaires en breton dans le sud de la région de Guingamp, et fera partie des cercles de gauche, animés par Michel Phlipponeau,géographe rennais.

Nous remercions tout particulièrement, Jean-Luc Guinamant, qui nous a fourni la majorité des documents sans lui nous n’aurions pas pu réaliser ce riche dossier.

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Avertissement

La traduction en langue anglaise des documents est en cours de réalisation. Par conséquent, vous verrez apparaître sur le site en rubrique « nouveauté » des documents qui y étaient déjà mais qui se mettent sous cette rubrique car ils ont par le fait été modifiés. Merci de votre compréhension.

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Yvonne Bocher nous a quittés.

Yvonne Bocher nous a quittés. Ses obsèques ont eu lieu à Saint-Servais (22) le vendredi 29 janvier.

Madame Bocher est la fille d’Auguste Bocher, Ar Yeodet (nom bardique), journaliste, poète breton, orateur distingué, membre de la Gorsedd de Bretagne, né en 1878 et mort le 22 avril 1944. Il a consacré toute sa vie à la défense de la langue bretonne.
Auguste Bocher a été assassiné par des « résistants » de la dernière heure, qui ont profité de la guerre pour assouvir une vengeance personnelle à l’encontre du régisseur du marquis de Kerouartz à Saint-Servais, à la suite d’une histoire de braconnage. Le jour de l’enterrement, ces personnages étaient ivres et ont sommairement assassiné le frère du barde.Yvonne avait 14 ans

Elle a édité au début des années 2000 les poèmes de son père : Bleuniou Yaouankiz (tome 1 et 2)
Vous trouverez sur le site de la boutique : « Notennoù Brezel » d’Aogust Bôcher – Ar Yeoded

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