LES BRETONS DANS LA GUERRE DE 14-18

12,00

Les Bretons dans la guerre de 14-18

De Jean-Pascal Soudagne

Iconographie de Christian Le Corre

Lorsque le président de la République française, Raymond Poincaré, signe l’ordre de mobilisation, ce sont alors, à partir du 2 août 1914 2,5 millions d’hommes qui abandonnent leur vie, leur labeur quotidien pour rejoindre jour après jour leurs lieux de mobilisation.

ils partent tous pour une guerre que l’on prédit de courte durée. Mais cette illusion ne tarde pas à se changer en désillusion. Les Bretons des 19e RI (Brest), 41e RI (Rennes), 47e RI (Saint-Malo), 48e RI (Guingamp), 62e RI (Lorient)… vont connaître les affres de la guerre, de la mort, de la douleur sur les champs de bataille de la Belgique, de la Marne, de la Champagne, de Verdun, de la Somme, etc

Mais outre les blessés, à défaut de permissionnaires, la Bretagne voit arriver des prisonniers, militaires mais d’abord civils. Pour évoquer ces derniers, on lit pour la première fois dans la presse ou sur les papiers officiels un terme qui aujourd’hui fait encore froid dans le dos, celui de  » camp de concentration « .

Aux éditions Ouest france

128 pages

Publié en 2006

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Description

Les Bretons dans la guerre de 14-18

De Jean-Pascal Soudagne

Iconographie de Christian Le Corre

Lorsque le président de la République française, Raymond Poincaré, signe l’ordre de mobilisation, ce sont alors, à partir du 2 août 1914 2,5 millions d’hommes qui abandonnent leur vie, leur labeur quotidien pour rejoindre jour après jour leurs lieux de mobilisation.

ils partent tous pour une guerre que l’on prédit de courte durée. Mais cette illusion ne tarde pas à se changer en désillusion. Les Bretons des 19e RI (Brest), 41e RI (Rennes), 47e RI (Saint-Malo), 48e RI (Guingamp), 62e RI (Lorient)… vont connaître les affres de la guerre, de la mort, de la douleur sur les champs de bataille de la Belgique, de la Marne, de la Champagne, de Verdun, de la Somme, etc

Mais outre les blessés, à défaut de permissionnaires, la Bretagne voit arriver des prisonniers, militaires mais d’abord civils. Pour évoquer ces derniers, on lit pour la première fois dans la presse ou sur les papiers officiels un terme qui aujourd’hui fait encore froid dans le dos, celui de  » camp de concentration « .

Aux éditions Ouest france

128 pages

Publié en 2006

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